Tout commence lorsque l'épouse d'un pauvre fermier du nom de Denis Trois tombe gravement malade. Voyant qu'elle crachait du sang, que sa température montait et qu'elle ne pouvait plus respirer, elle soupçonna que c'était la tuberculose. Denis s'inquiétait de plus en plus parce qu'il savait que s'il n'obtenait aucun remède ou cure en peu de temps, il mourrait. Heureusement, j'avais un très bon ami marchand nommé Aluin. Celui-ci fait une route commerciale par toute la France et parfois il passait par Pau pour vendre des tissus à sa femme. Aluin lui propose de retourner à Toulouse avec lui à la recherche d'un remède pour pouvoir le guérir.

Sans réfléchir à deux fois, Denis a tout préparé et le lendemain, juste avant le lever du soleil, ils sont partis pour Toulouse avec deux chevaux tirant une calèche et un mulet portant les choses que le marchand devait vendre. Le voyage durait de soleil en soleil et quand il ne leur restait plus qu'un quart du chemin, ils trouvèrent un humble pèlerin (chose courante étant donné que ce chemin faisait partie du chemin de pèlerinage le plus important de l'époque). Le fermier, qui devenait de plus en plus nerveux car il ne savait pas ce qu'il ferait à son arrivée dans la grande ville, expliqua toute sa situation à Pierre (le pèlerin), qui, heureusement, leur dit qu'il connaissait la ville Et cela les aiderait à trouver quelqu'un qui pourrait la guérir (il faut noter que selon le pèlerin le fermier était un envoyé de dix personnes qui était là pour mettre le pèlerin à l'épreuve). Denis a sans doute accepté son aide, ils ont parlé à Aluin et ont fini par décider qu'il le paierait pour continuer à pied avec le pèlerin tandis que le marchand irait vendre ses marchandises en ville. Denis et Pierre sont arrivés à Toulouse alors qu'il faisait déjà nuit, mais comme ils ne voulaient pas perdre de temps, ils se sont dirigés vers un cimetière à la périphérie de la ville (nord) où vivait une sorcière solitaire et mystérieuse qui, selon le pèlerin. , il y a un an, elle était recherchée pour sorcellerie et on dit même qu'elle a brûlé ses parents sous ses propres yeux et c'est pourquoi elle est devenue folle. Une fois sur place, elle leur a dit qu'elle pouvait s'en occuper mais que bien sûr ce ne serait pas gratuit. Delance (la sorcière) leur a dit qu'il avait une connaissance qui lui avait fourni une grande partie des articles nécessaires pour faire une grande partie des breuvages. C'est ce qu'on appelle "Le chasseur sans âme" et cette fois il avait besoin de deux autres personnes pour voler le joyau le plus important qu'ils verraient dans sa vie. Cela s'appelait "El Regante". C'était un diamant volé au roi de France lui-même qui, pour des raisons inconnues, l'avait au noble Archard (un parent éloigné du roi) dans son château. Heureusement, ce soir-là, le noble assistait à un opéra (appelé Richard Cœur-de-lion par André Ernest) au Théâtre du Capitole situé dans le centre-ville. Le fermier et le pèlerin devraient rencontrer ce mystérieux bandit pour entrer dans son château et voler le diamant. Comme le sorcier leur a dit, ils sont allés dans une autre zone de la forêt où ils ont trouvé un homme, avec une capuche sombre couvrant tout son visage. Sans se poser trop de questions, ils se dirigèrent vers le château, ce n'était pas très grand et il n'y avait pas non plus beaucoup de vigilance. Le bandit leur expliqua le plan, il s'agissait de Denis et du pèlerin qui restaient en garde à la porte du château pendant que le bandit volait le diamant . Le bandit n'a pas trouvé le bijou et s'est mis en colère. Ils sont allés voir la sorcière et lui ont expliqué ce qui s'était passé. Elle a dit que puisqu'ils ne l'avaient pas fait, elle ne s'en soucierait pas. Par contre, à ce moment précis, une scène est vue alors que la garde personnelle du Noble Archard lui explique qu'un homme mystérieux accompagné d'un païen et d'un pèlerin est entré dans la maison à la recherche du diamant. En arrière-plan, vous voyez comment apparaît une personne (vous ne voyez pas qui il est, il est sur le dos) qui tient le diamant dans une main et se met à rire avec le noble. À la tombée de la nuit, Denis et Pierre ont décidé de voler un cheval et de quitter cette ville le plus tôt possible. Ce qui n'était pas prévu, c'est qu'à mi-chemin, ils rencontrèrent le noble Archard accompagné de son garde du corps et d'un autre homme. Ils se rapprochaient de plus en plus du point où ils pouvaient détecter le visage de leur ami Aluin. Il y eut quelques instants de silence, puis le noble les accusa de tentative de vol. Aluin rit alors et leur montre le bijou qu'ils ont tenté de voler, tant le païen que le pèlerin ont pu en déduire que son ami marchand non seulement faisait du commerce de tissus, mais il passait également des commandes spéciales qui venaient directement de la plus haute noblesse. Sans aucun remords, le marchand les a condamnés tous les deux à mort. Pendant que le garde les emprisonnait, le bandit est soudainement apparu et a réussi à prendre le diamant des mains d'Aluin. Rapidement, le garde l'a attaqué avec son épée mais le bandit a sorti une arme jamais vue auparavant par personne (le mousquet de Cherville) et lui a tiré une balle dans la poitrine. En un clin d'œil, le vandale avait disparu au même titre que le pèlerin. D'un autre côté, il ne lui a pas tellement payé de chance et ils l'ont emprisonné. Quelques jours plus tard, il a été brûlé vif devant la place de la ville, mais personne ne s'attend à ce que tous les aubergistes, domestiques, journaliers et autres ouvriers non privilégiés de la ville aient assisté à l'excursion exprimant l'innocence de celui-là. homme humble.

Le jour de l'exécution, le pèlerin s'est rendu chez Denis pour voir comment allait sa femme et à la recherche de nourriture (comme il devenait de plus en plus difficile de survivre, les nobles leur faisaient payer plus d'impôts et la nourriture devenait plus chère). Quand elle est arrivée, elle n'a trouvé qu'un corps qui commençait à se décomposer (elle était morte depuis des jours) et un morceau de pain sec. Finalement, le pèlerin a enterré ce qui restait de cette femme. (vu en arrière-plan le pèlerin regardant l'horizon et il fait noir).